Mon fidèle PC commence sérieusement à donner des signes de fatigue. Près de 10 ans de loyaux services, quand même ! Un AMD Athlon 2400XP+ (2 Ghz), avec 2 Go de RAM sur une carte mère MSI (je ne sais plus quel modèle) et une carte vidéo ATI de .... 64 Mo (j'y reviendrai). Au début, la bête utilisait Windows XP.
Puis les mises à jour de Windows m'ont gonflé avec leur redémarrages forcés. Et la curiosité m'a poussé à aller voir vers d'autres quartiers de la ville. Tout doucement, j'ai donc tâté le monde de la Banquise. Oh, rien de bien méchant : c'était juste un tour des locaux de chez Linux, avec plusieurs distributions, histoire de voir ce qu'était ce système, mais aussi son environnement. J'ai donc posé les yeux sur Mandrake (future Mandriva), Fedora Core (future Fedora), Slackware (que je n'ai jamais encore su apprivoisé et il faudra bien un jour retenter). Je ne me souviens pas avoir tester d'autres variantes GNU/Linux.
Bref, un jour, je me suis quand même décidé pour la Mandrake (Mandrake 2005 LE) en aménageant mes partitions pour faire de la place au manchot. J'avoue : là encore, je testais le terrain puisque Windows demeurait mon principal système à 90 - 95%.
Jusqu'à ce que je saute le pas, un an plus tard en installant Mandriva 2006. Mon schéma de partitions n'a pas varié pour autant (2 disques durs) laissant encore pas mal de place plus ou moins inutile pour Windows. Je veux dire par la que, outre la partition dédié à Windows, il y avait une énorme partition en Fat32 me servant de passerelle entre les deux systèmes (le Fat32 étant alors le seul système de fichier pleinement géré par Linux sans risque). Mais dès ce moment là, GNU/Linux est devenu mon système principal à 90 %, en optant pour KDE 3 (Gnome me déroutant et KDE plus proche de mes anciennes habitudes). Et j'ai apprécié de grosses différences, sans vouloir lancer de troll :
En 2011, je rends compte que mes disques durs sont sous-employés. Depuis 2008, je n'utilise plus Windows. La greffe a pris. Donc, autant virer Windows et gagner de la place. Je fais par conséquent mes sauvegardes et formate tout, façon bulldozer. Simplification par le vide : formatage total pour réinstaller GNU/Linux à neuf sur des partitions neuves.
Naturellement, mes pas m'ont porté vers Mandriva 2011.0. J'étais devenu "Contributeur financier" assez vite (en 2006 ou 2007, je crois), ce statut me donnant facilement accès à la Powerpack (version complète avec des bonus dont des pilotes propriétaires). Oups ! J'aurai pas du ! De surprises en déceptions :
Et Mageia est passé comme une lettre à la poste. Pour une première mouture d'un fork de Mandriva, c'est réussi. J'ai un système tel qu'aurait du être Mandriva 2011. Et si Mageia n'avait pas vu le jour ? J'aurais opté pour Fedora ou Debian. En réalité, j'ai un système multi-boot (avec en plus Fedora, Debian et Zenwalk) et j'avais déjà une solution de replis.
Puis les mises à jour de Windows m'ont gonflé avec leur redémarrages forcés. Et la curiosité m'a poussé à aller voir vers d'autres quartiers de la ville. Tout doucement, j'ai donc tâté le monde de la Banquise. Oh, rien de bien méchant : c'était juste un tour des locaux de chez Linux, avec plusieurs distributions, histoire de voir ce qu'était ce système, mais aussi son environnement. J'ai donc posé les yeux sur Mandrake (future Mandriva), Fedora Core (future Fedora), Slackware (que je n'ai jamais encore su apprivoisé et il faudra bien un jour retenter). Je ne me souviens pas avoir tester d'autres variantes GNU/Linux.
Bref, un jour, je me suis quand même décidé pour la Mandrake (Mandrake 2005 LE) en aménageant mes partitions pour faire de la place au manchot. J'avoue : là encore, je testais le terrain puisque Windows demeurait mon principal système à 90 - 95%.
Jusqu'à ce que je saute le pas, un an plus tard en installant Mandriva 2006. Mon schéma de partitions n'a pas varié pour autant (2 disques durs) laissant encore pas mal de place plus ou moins inutile pour Windows. Je veux dire par la que, outre la partition dédié à Windows, il y avait une énorme partition en Fat32 me servant de passerelle entre les deux systèmes (le Fat32 étant alors le seul système de fichier pleinement géré par Linux sans risque). Mais dès ce moment là, GNU/Linux est devenu mon système principal à 90 %, en optant pour KDE 3 (Gnome me déroutant et KDE plus proche de mes anciennes habitudes). Et j'ai apprécié de grosses différences, sans vouloir lancer de troll :
- installation en une unique fois : le système, les pilotes, les applications
- pas besoin de devoir redémarrer après une mise à jour ou un nouveau programme
- pas besoin de me tracasser avec un antivirus dans la mesure où je ne transmet rien à quiconque
- pas besoin de passer à la caisse pour un rien, ou alors je le choisis librement
- possibilité de mettre les mains dans le cambouis pour personnaliser / peaufiner un réglage grâce au concept de l'open-source
- possibilité de choisir son environnement graphique
- possibilité de plusieurs bureaux virtuels (pour un confort d'organisation)
En 2011, je rends compte que mes disques durs sont sous-employés. Depuis 2008, je n'utilise plus Windows. La greffe a pris. Donc, autant virer Windows et gagner de la place. Je fais par conséquent mes sauvegardes et formate tout, façon bulldozer. Simplification par le vide : formatage total pour réinstaller GNU/Linux à neuf sur des partitions neuves.
Naturellement, mes pas m'ont porté vers Mandriva 2011.0. J'étais devenu "Contributeur financier" assez vite (en 2006 ou 2007, je crois), ce statut me donnant facilement accès à la Powerpack (version complète avec des bonus dont des pilotes propriétaires). Oups ! J'aurai pas du ! De surprises en déceptions :
- Début octobre 2011, pas de Powerpack disponible ! Les Contributeurs financiers sont désormais traités comme des vaches à lait. On prend leur fric sans rien en échange ! Pour l'anecdote, le Powerpack est venu plus tard en novembre 2011, après que beaucoup aient rouspété et ... fuie.
- Un mode d'installation laxiste. La simplification via la méthode LiveDVD est incompatible avec les vieilles machines, celles dotées de trop peu de mémoire. Même pas de CD/DVD alternatif comme avec Ubuntu !
- Mandriva 2011 porte le choix de tout KDE unique. Dans les faits, du fait de ma carte vidéo de 64 Mo, KDE était totalement inexploitable ! Ayant (par hasard) une carte vidéo de 128 Mo, j'ai testé avec un résultat encore poussif et saccadé. Du mieux mais pas assez ! J'ai finalement pu trouver une carte vidéo en AGP dotée de 512 Mo afin que KDE puisse fonctionner sans problème.
- Pour l'anecdote, j'ai aussi testé Gnome (via les dépôts Contrib). Absolument imbuvable ! Un Gnome 2 avec l'ergonomie de Gnome 3 inexploitable. Impossible de redimensionner et agrandir les fenêtres. Les contributeurs n'ont visiblement pas eu le temps de terminer correctement la migration et ce n'est pas de leur faute. Par contre, Xfce est exploitable.
- Revenons sur la méthode "Live" d'installation. Une méthode bête et méchante. Après avoir sélectionner la langue française comme interface, pourquoi toutes les autres langues ont-elles été installée ? Je ne sais pas parler le russe ou le chinois ! J'ai du sélectionner une par une toutes les autres langues pour les désinstaller et gagner ... 1 Go !
- Personnaliser KDE ? Impossible ! A chaque redémarrage, tout à refaire ! Et avec d'autres distributions (Mageia, Fedora) aucun problème. Du travail bâclé par Mandriva ! Et quand Mandriva prône le 100% KDE, ça donne du KDE saboté !
- Installer mon imprimante sur port parallèle ? Quelle galère (qui dure depuis 2009, d'ailleurs) ! Une régression : Mme Michou (son mari aussi, en fait) ne sait pas qu'il faut entrer l'adresse "parallel:/dev/lp0" ! Simplicité ? Mon œil !
Et Mageia est passé comme une lettre à la poste. Pour une première mouture d'un fork de Mandriva, c'est réussi. J'ai un système tel qu'aurait du être Mandriva 2011. Et si Mageia n'avait pas vu le jour ? J'aurais opté pour Fedora ou Debian. En réalité, j'ai un système multi-boot (avec en plus Fedora, Debian et Zenwalk) et j'avais déjà une solution de replis.
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