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Articles

Affichage des articles du 2014

Autoentrepreneur, taxation et incitation au travail

En 2012, je me suis inscrit en tant qu'autoentrepreneur. Pourquoi ? Pour être dans la légalité et, accessoirement, me dire que je joue mon rôle de citoyen. Que des avantages ? Pas sûr ! Vraiment pas certain à l'usure ! Derrière le statut d'entrepreneur, c'est l'idée que tout est simplifié. A l'échéance (tous les 3 mois dans mon cas), on déclare son chiffre d'affaire pour faire une multiplication et obtenir ainsi la somme totale de ce qui est du (24,60% dans mon cas). En contrepartie, pas de déclaration de TVA et pas de TVA collectée à payer mais aussi pas d'autre déclaration de revenu des sociétés donc pas d'impôts des sociétés. A priori, vraiment la simplification. A condition d'avoir envoyé avant le 31 décembre absolument toutes les déclarations périodiques de revenus. Or, dernièrement, je reçoit un avis d'imposition concernant la CFE, soit la Cotisation Foncière des Entreprises. En gros, et si j'ai bien compris, l'ancienne Taxe

VirtualBox et gestion des disques virtuels

Il peut arriver de se trouver avec un disque virtuel trop petit dans sa machine virtuelle VirtualBox. La manipulation des disques virtuels est assez facile sous VMwarePlayer et Workstation (cf chapitre 5 - Au sujet des disques virtuels du manuel PDF VMware ). La même manipulation sous VirtualBox est moins aisée. Profitons en pour faire le tour des actions possibles sous VirtualBox vis à vis des disques virtuels. Notez que toutes les opérations que nous allons effectuer avec VirtualBox ou ses utilitaires doivent se faire avec la machine virtuelle éteinte et éteinte proprement (sous peine d'erreurs et d'impossibilité de redémarrage). 1 - Mise au point GNU/Linux et Windows Nous allons rapidement utiliser la ligne de commande. Rassurez-vous : ce ne sera pas bien compliqué. Sous GNU/Linux, ce sera directement dans une console : $VBoxManage commande disque.vdi option Sous Windows, il faudra utiliser la ligne de commande MS-DOS, via le menu "Exécuter" : C:\Prog

Consommation mémoire des bureaux sous GNU/Linux

La question quasi classique : "Combien de mémoire est nécessaire utiliser pour tel bureaux sous GNU/Linux ?" On peut vouloir utiliser une machine plus ou moins ancienne, donc dotée d'une quantité limité de mémoire vive. Se pose alors la question de l'environnement de bureau approprié à la machine. .... En dehors de toute considération de goût. Je me suis amusé à étudier la question dans la limite de mes moyens. Comme je ne dispose pas de 36000 machines, j'ai profité des capacités de virtualisation de ma tour (construite justement pour virtualiser). J'ai ainsi construit plusieurs machines virtuelles avec, systématiquement, les mêmes profils. Toutes ces machines virtuelles sont en 64 bits avec : * 4 Go de mémoire vive * 128 Mo de mémoire vidéo * SDA1 : Ext4 : 17 Go :  / * SDA2 : Swap : 4 Go * SDB1 : Ext4 : 8 Go : /home Les environnements de bureaux étudiés sont les plus classiques. Par ordre alphabétique : * Cinnamon : un fork de Gnome-shell initié

RIP de DVD vidéo sous GNU/Linux

Je tente de couper définitivement les ponts avec Windows. Jusqu'à présent, je rippais mes DVD vidéos (copie de sauvegarde passe-partout) via une machine virtuelle Windows et un programme propriétaire. Je relance donc mon projet de ripper directement depuis la banquise et je teste d'abord toutes les solutions. Je teste avec le même DVD, selon les mêmes critères (Xvid, compression ...), en regardant la qualité finale, le temps passé et l'ergonomie de l'application d'encodage. Tous les essais ont été menés sur la même machine qui dispose de 64 Go de mémoire RAM, de la technologie CUDA via la carte vidéo et tous les systèmes d'exploitation en mode 64 bits (y-compris les virtualisés). De plus, c'est systématiquement le même DVD vidéo qui a été utilisé pour tous ces tests. 1 - Sous Windows 7 non virtualisé A titre de base d'exemple, sous Windows 7 non virtualisé : En résumé, sous Windows 7 (réel), à taux de compression à peu près égal, le plus

Montage de disques en USB et mot de passe éxigé

Quand je branchait en USB un disque dur ou une clef USB, le mot de passe root m'était systématiquement demandé (sous KDE). Que ce périphérique de stockage soit en Ext3 (ou Ext4) ou en NTFS, le mot de passe était incontournable. Le pire était qu'avec un profil utilisateur vierge (tout neuf), et sur la même distribution bien sûr, ce mot de passe n'était jamais demandé. J'ai donc comparé les fichiers de configuration de KDE des deux utilisateurs : celui qui demande le sésame et celui qui l'ignore.  A force de chercher, de fouiller, de comparer, j'ai trouvé le coupable ..... qui est le fichier suivant : /home/user/.kde4/share/config/kded_device_automounterrc Note : Pour ceux qui auront besoin de cette astuce, faites préalablement une sauvegarde de votre fichier originel, par sécurité ! Il faut supprimer les lignes suivantes : ForceAttachAutomount=false ForceLoginAutomount=false Le fichier comportait les rubriques suivantes (extrait) : [Devices][/org

VMware Player et Workstation

Je reviens sur VMware Player et Workstation. Suite à la migration de mon système Mageia 3 vers Mageia 4, j'ai galéré pour réinstaller VMware Player. Et ayant aussi réinstallé Fedora 20 entièrement, je voulais aussi réinstaller l'application sur ce système. Le problème était qu'installer cette application sur un système GNU/Linux implique quelques astuces. Astuces que je n'avait pas notées correctement (comme un imbécile). Pour rappel, j'utilise VMware Player pour virtualiser Windows afin de couvrir quelques besoins ponctuels. Car je n'ai jamais, et toujours pas, pu faire reconnaître mes périphériques USB, quels qu'ils soient, avec un Windows (7) virtualisé sous VirtualBox (version 4.3.6 OSE). Et cela malgré avoir installé les extensions VirtualBox. Sous Windows virtualisé avec VirtualBox, les pilotes s'installent puis échouent systématiquement (pilotes installés après l'installation des extensions suivi d'un redémarrage). Je précise aussi qu

Comparatif création / restauration images partitions

Par sécurité, j'ai pris l'habitude de créer des images de mes partitions système, soit pour beaucoup et par abus de langage des images "Ghost". Habituellement, j'utilise Acronis True Image Home , voire Norton Ghost. Un petit aparté sur True Image Home et Norton Ghost. Ce sont des solutions propriétaires et payantes. Cela ne me gêne pas. Ces deux solutions ont toujours fait leur travail. Cependant, si Acronis True Image Home est toujours disponible (49,95€), tel n'est pas le cas de Norton Ghost dont l'ultime version est la numéro 15 et n'est pas compatible avec Windows 8. Les particuliers doivent désormais se tourner vers Symantec System Recovery Desktop Edition (65,22€), à la fiche technique quasiment identique à celle de son ancêtre. Or, il y a quelques temps, je n'ai pu réaliser d'image de ma partition Mageia (Mageia 3 avant la migration vers Mageia 4), quel que soit le programme utilisé et j'ai du passer par la ligne de commande. D

Dracut Warning: Could not boot

Dracut a encore fait des siennes, le sale garnement ! En fait, j'ai provoqué la bagarre pour comprendre. J'ai installé plusieurs systèmes GNU/Linux dans une machine virtuelle pour tester. Le point de départ réside dans le fait qu'un jour, à l'issue d'une installation GNU/Linux, j'ai galéré comme un malade pour pouvoir redémarrer mes autres système d'exploitation. Dracut faisait la gueule en pointant vers une partition fantôme. J'avais pu dépanner Manjaro et Mageia 3 mais jamais Fedora 19. Le coupable présumé : Debian. 1 - Vas-y : Casse tout ! J'ai donc recréé une machine VirtualBox avec 3 disques : * SDA1 = Ext3 = Mageia 4 * SDA2 = Ext3 = Fedora 20 * SDA3 = Ext3 = Debian 7.1 * SDA5 = Ext4 = Manjaro 0.8.9 * SDA6 = Swap = Swap1 * SDB1 = Ext4 = Ubuntu 13.1 * SDB2 = Ext3 = openSUSE 13.1 * SDB3 = Swap = Swap2 * SDC1 = Ext3 = Home (home commun à tout le monde avec des noms utilisateurs différents) A nouveau, c'est l'installation de

Vérification des disques sous GNU/Linux - fsck

Assez régulièrement, lors du démarrage d'un système GNU/Linux, les disques sont vérifiés via un FSCK afin de corriger les éventuels problèmes. C'est très utile et mieux vaut laisser faire. Oui mais il est possible qu'on souhaiterait espacer un peu l'intervalle de temps entre deux vérifications. L'opération passe par la commande tune2fs . Voyons les informations délivrées : # tune2fs -l /dev/sda2 Qui nous retourne : [root@localhost teutates]# tune2fs -l /dev/sda3 tune2fs 1.42.9 (28-Dec-2013) Filesystem volume name:   FEDORA Last mounted on:          / Filesystem UUID:          58b1818d-767e-49cb-ac7b-6aac96516807 Filesystem magic number:  0xEF53 Filesystem revision #:    1 (dynamic) Filesystem features:      has_journal ext_attr resize_inode dir_index filetype extent flex_bg sparse_super large_file huge_file uninit_bg dir_nlink extra_isize Filesystem flags:         signed_directory_hash  Default mount options:    user_xattr acl Filesystem

Android et le format OpenDocument

OpenOffice vient d'être porté sous Android et cette solution se nomme  AndrOpen Office . L'occasion de faire le point sur la gestion du format OpenDocument sous Android. 1 - Format OpenDocument OpenDocument ? Qu'ès acò ? C'est un format ouvert utilisé par les suites bureautiques. Ce format est normalisé sous le sigle ODF et englobe donc traitements de texte, tableurs, présentations, dessins, diagrammes, formules, bases de données, images. OpenOffice puis LibreOffice l'ont adopté en standard, ainsi que, entre autres, Calligra (successeur de KOffice). Actuellement, OpenDocument est enversion 1.2. A noter que Microsoft a développé sa propre version OpenDocument, basée sur la version 1.2. Cependant, cette situation a mené à des récriminations dans la mesure où le format OpenDocument sauce Microsoft dévie de la norme 1.2. Ainsi, un document Microsoft OpenDocument est plus ou moins bien interprété par les applications opensources. Il semblerai cependant que Micros

Retour d'expérience Fedora 20 Heisenbug

Le 09/02/2013, j'avais écris mes impressions sur Fedora 18 . Depuis la situation a évolué avec la sortie de Fedora 19 (Schrödinger's Cat) puis 20 (Heisenbug). Il serait temps que je fasse une sorte de mise à jour sur Fedora. Je ne vais pas refaire un pavé sur Fedora 20 ; je vous conseille plutôt de vous adresser à la source (site Fedora-fr.org) . L'information du site http://www.fedora-fr.org/ sera toujours plus claire. 1 - Historique personnel : Début février 2013, j'avais installé Fedora 18 et, courant juillet 2013, j'avais fait migrer cette Fedora 18 vers Fedora 19, en utilisant la procédure dite " FedUp ". Cette procédure de migration en douceur n'a posé aucun problème et elle semble bien être déjà parfaite. Les ennuis sur Fedora 19 ont débuté fin août / début septembre 2013 avec la perte en série de disques durs . Je pouvais démarrer cette Fedora 19 mais sans jamais pouvoir me connecter à un compte utilisateur, que ce soit sous KDE, Gnome

Mise à jour Android

Pour changer de version Android, il existe deux solutions, sur smartphones. Soit on attend la sortie officielle livrée par le fournisseur de téléphonie (mise à jour dite OTA), soit on installe une ROM non officielle. Possédant un Samsung Galaxy SIII, j'attendais plus ou moins la mise à jour officielle. Acheté chez SFR, avec Android 4.0 (Ice Cream Sandwich) à l'origine, j'avais pu obtenir sans difficulté la mise à jour vers Android 4.1 (Jelly Bean). La procédure est simple puisqu'il suffit d'aller dans les paramètres pour trouver la rubrique (en fin de liste) nommée "A propos de l'appareil". Là, on trouve une option "Mise à jour logicielle". On active alors préalablement le Wifi pour chercher s'il existe une mise à jour. Dans l'affirmative, on accepte le téléchargement (assez long) et, quand celui ci est terminé, on accepte l'installation. Une message avertit de certains risques mais je n'ai jamais rencontré de problème. J

OpenMandriva Lx 2013.0

OpenMandriva Lx 2013.0 est sortie. L'occasion de tester cette héritière de feu Mandriva  L'idée n'est pas vraiment de comparer avec Mageia, l'autre héritière de Mandriva issue d'un fork douloureux, mais plutôt de constater l'évolution. En bref, OpenMandriva est-elle pleinement opérationnelle ? 1 - Rappel historique En 2010, la communauté Mandriva (ex Mandrake) a vécu des moments pénibles. Certains développeurs et beaucoup d'utilisateurs de la distribution n'étaient plus en accord avec la politique adoptée par la société Mandriva. L'aspect technique et donc la qualité, mais aussi le respect des utilisateurs, passaient en retrait afin de privilégier l'aspect commercial. Au bord de la faillite, la société licenciait la plupart des développeurs. Dans la foulée, ce personnel licencié fondait un fork basé sur Mandriva 2010.1 sous le nom de Mageia (magie en grec) épaulé par une association du même nom. Le fork a très vite été rejoint par beaucoup d